Je suis en pleine organisation de ma valise en vue de mon départ lundi matin. En fait, comme je pars avec une journée d'avance (c'est-à-dire demain) à Paris pour être à l'heure à l'aéroport le jour J venu, ma valise doit être prête pour demain matin.
Bon, soit. La partie "vêtements" est classée, reste....le reste. C'est-à-dire tout un tas de choses tellement utiles-j'en-suis-sûre-il-me-les faut mais qui prennent à force tellement de place ! Mais je vais finir par m'en sortir. De toute façon, ma soeurette venant d'office me voir en décembre, je pense que je lui refourguerai quelques vêtements et autres choses indispensables pour qu'elle me les apporte =D
Voilà, je suis donc presque prête à partir. Je dis presque car hormis la valise, c'est surtout la tête qui n'y est pas du tout. Je buggue littéralement. Je ne percute pas vraiment, on dirait. Je pars au Japon lundi. Ah ? Fort bien.
Une partie de moi fait quand même déjà la liste de toutes les chouettes choses que j'ai faites pendant ces trois mois et demi de "pause" entre Chine et Japon (quoi, seulement si peu ?...) et commence à regretter d'avance la petite vie que je mène dans mon chez-moi depuis tout ce temps. Je me surprends à soupirer, parfois.
Mais l'autre partie, qui a malgré tout conscience de la réalité, va bientôt se réveiller. Et me faire prendre conscience que je serai arrivée au Japon, enfin, et que j'aurai plutôt intérêt à m'y débrouiller comme une grande. Il me suffira alors de bloquer en partie mes souvenirs angevins, de les garder pour un moment où ils ne m'inspireront aucune nostalgie. Il ne faudra pas avoir une once de regret. Même si ce ne sera pas facile tous les jours, pas de regret. Et 8 mois, comme je le dis depuis un moment, ça passe vite. Si vite.
Allez, je retourne achever ma valise, et le prochain message sera à l'heure nippone...
Bon, soit. La partie "vêtements" est classée, reste....le reste. C'est-à-dire tout un tas de choses tellement utiles-j'en-suis-sûre-il-me-les faut mais qui prennent à force tellement de place ! Mais je vais finir par m'en sortir. De toute façon, ma soeurette venant d'office me voir en décembre, je pense que je lui refourguerai quelques vêtements et autres choses indispensables pour qu'elle me les apporte =D
Voilà, je suis donc presque prête à partir. Je dis presque car hormis la valise, c'est surtout la tête qui n'y est pas du tout. Je buggue littéralement. Je ne percute pas vraiment, on dirait. Je pars au Japon lundi. Ah ? Fort bien.
Une partie de moi fait quand même déjà la liste de toutes les chouettes choses que j'ai faites pendant ces trois mois et demi de "pause" entre Chine et Japon (quoi, seulement si peu ?...) et commence à regretter d'avance la petite vie que je mène dans mon chez-moi depuis tout ce temps. Je me surprends à soupirer, parfois.
Mais l'autre partie, qui a malgré tout conscience de la réalité, va bientôt se réveiller. Et me faire prendre conscience que je serai arrivée au Japon, enfin, et que j'aurai plutôt intérêt à m'y débrouiller comme une grande. Il me suffira alors de bloquer en partie mes souvenirs angevins, de les garder pour un moment où ils ne m'inspireront aucune nostalgie. Il ne faudra pas avoir une once de regret. Même si ce ne sera pas facile tous les jours, pas de regret. Et 8 mois, comme je le dis depuis un moment, ça passe vite. Si vite.
Allez, je retourne achever ma valise, et le prochain message sera à l'heure nippone...
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